Montferrand était du XIIème siècle à 1630 une cité comtale. Cette dernière est aujourd’hui un quartier de la ville de Clermont-Ferrand. Les habitants s’appellent les Montferrandais et Montferrandaises.
Il a fallu deux édits royaux, en 1630, sous Louis XIII, puis en 1731, sous Louis XV, pour réunir durablement Montferrand à Clermont qui devint Clermont-Ferrand, ville à deux têtes, ville à deux centres. Cette union nécessaire et subie fit de Montferrand, riche et puissante, une cité obscure et pauvre, pendant deux siècles. Désireuse de garder son indépendance, la ville de Montferrand fera trois demandes d’indépendance en 1789, 1848 et 1863.
Les habitants du quartier de Montferrand sont appelés les Montferrandais et se surnomment les Mulets Blancs.
L’église Notre-Dame-de-Prospérité :
Entièrement bâtie en pierre de Volvic, en style gothique languedocien, Notre-Dame-de-Prospérité a été édifiée en plusieurs campagnes. Sa construction a commencé en 1304 pour s’achever par l’élévation des deux tours dans la deuxième moitié du XVIème siècle : la date 1566 apparaît gravée au sommet de la tour septentrionale.
L’édifice mesure en oeuvre 47.50m de long pour 18.30m de large et 18m du dallage à l’intrados de la voûte. La nef unique est composée de six travées droites, voûtées sur croisées d’ogives.
Ce vaisseau, éclairé par des fenêtres hautes, est entouré de quinze chapelles. Au dessus de la porte de la façade, une rose quadrangulaire a été exécutée dans le style gothique flamboyant, brisée pendant la Révolution. Les vitraux actuels ont été réalisés au XIXème siècle par des maîtres-verriers Clermontois.
La tour nord est flanquée d’une tourelle d’escalier couronnée par un gracieux campanile. La partie haute de la tour sud a été détruite durant la Révolution. Les restaurations extérieures de 2005-2010 ont restitué la résille initiale de joints ocrés.
En 1998, la Direction régionales des affaires culturelles a fait procéder à la réfection de la voûte de l’église. Les peintures représentant la Vierge environnée d’anges et de fleurettes, réalisées en 1872, ont ainsi retrouvé leur éclat.
Pour éloigner l’eau de pluie des terrasses, de nombreuses gargouilles ont été scultées tout autour du monument. On peut reconnaître des animaux (poissons, fauves, oiseaux, lévrier), mais aussi des hommes, tel ce moine dodu qui se soulage de son trop-plein, ou ce diable portant sur son dos quelque sorcière.
Le mobilier comprend, entre autres, un bel ensemble de bas-reliefs, autels, retables… récupérés après la Révolution. L’ornementation de la chapelles des fonts baptismaux est la plus intéressante, en particulier le grand panneau de bois sculpté (XVIIème siècle) dit de la Pentecôte.
Il s’agit plus sûrement d’une vie de sainte Ursule sculptée par Antoine Sureau en 1723 pour le couvent des Ursulines, dont l’église de Montferrand récupéra les boiseries après la Révolution (les Ursulines étant un ordre enseignant, cela explique la présence de nombreux livres sculptés dans l’oeuvre).
On admirera, également, une Vierge romane en pierre (fin XIIème – début XIIIème siècle) et un grand crucifix en bois (XVIIème siècle).
Eglises et prieuré :
A l’origine, Montferrand dépendait de la paroisse de Neyrat (anciennement Neira), dont l’église était située au nord-ouest de la butte sur les pentes du puy de Var. Au XIIème siècle, une église associée au monastère de Montferrand, sous la dépendance de l’abbaye de La Chaise-Dieu, consacrée à saint Robert, devient église paroissiale. Située hors les murs, au sud de la butte près de l’actuel cimetière, les habitants la délaissèrent à maintes reprises, en particulier aux époques troublées, au profit de la chapelle du château. C’est à l’emplacement de cette dernière que sera construite l’église actuelle.
Le Château :
L’existence de la forteresse est attestée en 1126 par la description de l’abbé Suger, dans son récit du siège par Louis VI le Gros, venu défendre les intérêts de l’évèque. La fondation du château est en effet liée au conflit opposant le comte à l’évèque au sujet du contrôle de Clermont. L’édification de l’enceinte castrale et du donjon, à l’extrémité orientale du Mons Ferrandus (actuelle place Marcel-Semblat) date probablement du début du XIIème siècle. Ce château était constitué d’un donjon quadrangulaire, pourvu de sa propre enceinte, et ceint d’une seconde plus vaste, flanquée de six tours, protégeant la tour maîtresse, et sans doute les premières maisons du bourg castral, établies intra-muros.
Place Marcel-Semblat :
Le château de Montferrand connut une intense activité et jouit d’un faste certain pendant tout le XIIème siècle . Il accueillit des hôtes de marque, tel le roi d’Angleterre Henri II en 1173. Dès la fin du XIVème siècle, les salles basses voûtées du donjon sont utilisées comme cachots, jusqu’au délabrement de la tour maîtresse au XVIIIème siècle. A partir de 1460, on envisage d’utiliser les bâtiments et la cour pour instaler l’hôtel bailliage, le château ayant perdu son rôle militaire depuis l’édification de l’enceinte urbaine au XIIIème siècle. Les tours s’effondrèrent successivement au cours du XVIIème siècle à l’exception de celle qui subsiste encore. Le donjon fut définitivement détruit à la Révolution.
Les recherches archéologiques situent la construction de l’enceinte urbaine entre la fin du XIIème et le premier tiers du XIIIème siècle. Elle circonscrivait toute la bastide sur un linéaire de 1700 mètres. Elle comportait quatre portes, chacune établie aux quatre points cardinaux de la cité : de Belregard (ouest), de Bise (nord), de la Poterle (est, légèrement décalée vers le sud-est) et de l’Hospotal (sud).
Cette enceinte subit aux XVème et XVIème siècles plusieurs mutations, conformément à l’évolution de l’artillerie. De nombreuses fois rebâties ou consolidées, les maçonneries actuelles du rempart sont d’époques diverses.
Les remparts :
Plus longs que ceux de Carcassonne, construits selon un dispositif développé ensuite par Vauban, les remparts de Montferrand témoignent d’un passé prospère.
Quelques éléments parsèment encore la cité, notamment, rue des Fossés-sous-le-Séminaire, rue des Fossés-sous-la-Rodade et rue de la Gravière. La muraille a été bâtie sur un principe de piles de fondation, reliées entre elles par des arcs de décharge.
L’épaisseur des courtines était de 5 pieds, 6 pouces (environ 1.80mètre), identique à la largeur des piles les plus ancienns.
Les murailles sont constituées de matériaux d’origine volcanique, hourdées au mortier de chaux ou à la terre pour certaines parties.
Le flanquement des courtines était assuré par trois types de tours : soit quadrangulaires de grandes ou petites dimensions, soit plus rarement semi-circulaires.
Toutes dominaient le chemin de ronde des courtines. Elles ont été équipées plus tard de tours d’artillerie. Les murailles, autrefois crénelées, atteignaient une hauteur considérable (près de 12 mètres), mais leur parement extérieur était en partie masqué par un fort talus incliné, protégeant leur base.
Le pont de Bise et le système défensif de la porte :
La porte de Bise, édifiée avant le milieu du XIIIème siècle (une des quatre portes de la ville), était constituée d’une tour-porte beaucoup plus haute que les courtines, surmontée d’une bretèche sur consoles en pierre. Reliant la barbacane à un second avant-corps formant poste avancé au-delà des fossés, un pont en pierre, à deux arches, franchissait la douve. Ces douves n’étaient mises en eau que lors des périodes troublées, par un système d’écluses alimentant le fossé nord de l’enceinte.
Souvent, il était à sec, comme lors de la prise de la ville par le routier Perrot Le Béarnais en 1388. Le pont actuel date vraisemblablement du XIVème ou du XVème siècle. Sa partie supérieure, dérasée, résulte de la mise en place du parapet moderne, sans relation avec le reste des maçonneries.
Les quatre quartiers :
A une date indéterminée (peut-être au XIVème siècle), on prend l’habitude de distinguer quatre quartiers, organisés de part et d’autre des deux grands axes, nord-sud et est-ouest, structurant la ville.
Les deux quartiers nord, Moulins et Molles (les meules), doivent leur nom aux activités liées à la présence du cours forcé d’un bras de la Tiretaine qui les traverse. Dans ce secteur, la rue du Ruisseau, par exemple, atteste du passage de l’eau qui servait aussi aux besoins des tanneurs et des bouchers.
Le quartier sud-est, dit de la Saulnerie, tire son nom de la présence d’un grenier à sel, à la fois dépôt de la précieuse marchandise et siège d’une juridication des fraudes sur sa vente et son trafic. L’officier chargé de cette juridiction était le grenetier. De plus, les rues du Poids et de la Verrerie confirment une activité économique certaine dans cette partie de la ville.
Le grenier à sel (quartier de la Saulnerie)
Le quartier sud-ouest de Montferrand portait le nom de la Vacherie. Un monde de petits paysans, notamment de laboureurs, l’occupait. Les habitations étaient modestes, parfois accompagnées d’une grange, construite sur l’avant ou l’arrière, et d’une courette. Quelques noms de rues rappellent son ancienne vocation agricole, telle la rue des Quatre-Granges. Son insalubrité est révélée par la rue baptisée Merdanson, qui devait jouer le rôle de collecteur. C’est aussi dans ce quartier que se retrouvaient les nombreux marchands venus du Midi pour participer aux foires, comme en témoigne encore le nom de la rue du Languedoc.
Rue des Quatre-Granges (quartier de la Vacherie)
Place de la Rodade :
Au XIIème siècle, l’actuelle place de la Rodade est un terrain vacant, situé hors les murs de la ville. Au fur et à mesure de l’extension de Montferrand, elle s’est très probablement déplacée vers l’ouest, dominée à une époque par la porte de Belregard, d’où son appellation ancienne, et traversée par le belvédère sur la chaîne des Puys que devait constituer cet espace vierge et, au premier plan, sur la rivale Clermont, dominée par la cathédrale de l’évêque.
L’origine du nom de Rodade est obscure. Doit-on y voir la roue : instrument de supplice installé en ce lieu ? Le mot serait-il dérivé de roderie, promenade ? Aujourd’hui, c’est l’un des endroits les plus vivants du vieux Montferrand. Bistrots et restaurants populaires attirent une nombreuse clientèle à l’heure du déjeuner. Le terrain de pétanque a aussi ses inconditionnels.
Au XVème siècle, des foires importantes ont lieu sur cette place, hors les murs comme il était de tradition. Il s’agit même : « du marché le plus notable d’Auvergne » (1424). Les foires aux bestiaux se maintiendront longtemps après la Seconde Guerre mondiale puis disparaîtront en 1990. Une partie du foirail a été conservée au nord-ouest de la place : les barres métalliques pour attacher les animaux sont toujours visibles ainsi que l’ancien pavage. Chaque vendredi s’y déroule encore le marché hebdomadaire.
La fontaine-abreuvoir des Quatre-Saisons, oeuvre de l’école de scupture de Volvic, a été érigée au XIXème siècle. Des bas-reliefs représentent les quatre saisons figurées par une jeune fille coifée de pâquerettes, une tête de femme couronnée d’épis, une femme d’âge mûr entourée de grappes de raisin et un vieillard encadré de pommes de pin, de feuilles de chêne et de glands.
Place de la Fontaine :
Elle se situe devant l’ancienne porte sud de l’enceinte qui entoura Montferrand. Cette porte, appelée « Porte Saint-Nicolas » ou « Porte de l’Hôpital » fut détruite, comme les trois autres, en 1732. En 1542, on substitua à l’hôpital un autre bâtiment, qui fût lui-même remplacé par un troisième dont l’emplacement est actuellement occupé par la poste. A l’angle de la rue Jules-Guesde, une pharmacie occupe un bâtiment Art déco, construit vers 1928 par l’architecte André Papillard.
Jusqu’à la fin du XVIème siècle, Montferrand n’était approvisionné en eau que par la Tiretaine et quelques puits. En 1650, une fontaine fut construite à cet endroit, puis déplacée à deux reprises. Elle se trouve aujourd’hui hors de son cadre original, à l’angle des rues Kléber et Saint-Antoine. La fontaine actuelle date de 1836.
Située place de la Fontaine en 1650, la fontaine au lion a été par deux fois déplacée, avant de se retrouver sur l’actuelle placette. Son bassin est adossé contre un mur surmonté dans sa partie centrale d’un fronton orné d’ailerons à volutes, et sommé d’un lion debout portant l’écu de Montferrand.
Encadrant ce fronton, deux boules ornementales portées par des piédouches terminent la composition, tandis que le mur dorsal est sculpté de trois mascarons d’où jaillit l’eau. Cette fontaine était autrefois associée à un long bassin, qui servait de lavoir. L’origine du lion comme arme de la cité remonte au père de la comtesse Brayère, ou comtesse G., Guillaume de Nevers, dont l’écu est orné d’un lion. Les consuls gravèrent donc sur le sceau de leur ville le blason de la fondatrice de la cité libre de Montferrand.
La comtesse de Montferrand G.:
En 1196, à la suite d’un différend avec le roi Philippe Auguste, le comte d’Auvergne Robert Dauphin lègue la ville de Montferrand en douaire à sa femme. Outre la promulgation de la charte de franchises qui fait souffler un vent de libéralisme sur la ville et participe à son extension, la comtesse favorisera l’implantation des Templiers, créera une léproserie à Herbet (vestiges visibles au sud-est de Montferrand), un hôpital et multipliera les actes de charité. Vivant à l’écart de la cour et des Montferrandais, en raison de la lèpre qu’elle aurait contractée, elle meurt en 1199.
Montferrand / Clermont : Je t’aime, moi non plus
En avril 1630, l’édit de Troyes impose l’union de Clermont et de Montferrand avec le transfert de la cour des aides à Clermont. De cette décision hautement politique, Montferrand, ancienne ville royale, ne se releva pas. Les dispositions qui visent à dédommager et à compenser cette perte (exemption pendant cinq ans de toutes les tailles, implantation d’un collège jésuite, maintien des consuls et de certains officiers du bailliage…) n’évitent pas le déclin. Les projets de constructions publiques et privées dans l’ « entre-deux-villes » ne se firent pas. Malgré les protestations, les demandes d’intercession auprès du roi, le destin de la cité était joué. Il fut définitivement scellé, en 1731, par un édit de l’intendant Trudaine confirmant le premier. Clermont et Montferrand sont bien devenues Clermont-Ferrand.
Au début du XVIIème siècle, il est décidé de remplacer le chemin tortueux qui relie Montferrand à Clermont par une voie rectiligne. Il faut attendre 1630 et l’édit de Troyes qui unit Montferrand à sa rivale, Clermont, pour que le tracé du « grand chemin » soit définitivement adopté. Initialement appelée « avenue Royale », la voie Clermont-Montferrand devient « avenue de la République » sous la Révolution, nom qu’elle porte toujours.
Dans un petit renfoncement de la rue de la Rodade, à l’emplacement d’une ancienne maison, est installée la borne qui marquait autrefois la limite entre les territoires de Clermont et de Montferrand au pont de la Grioule (un ouvrage enjambant la Tiretaine au bas de l’actuelle avenue Barbier-Daubrée). Bien que martelés et se distinguant mal, on devine trois blason, deux sur une même face : l’un pour l’évêque (Clermont) et l’autre pour le comte (Montferrand) et sur l’autre face, celui du roi.
Le musée d’art Roger-Quilliot :
Devenu trop exigu, le musée des Beaux-Arts de Clermont-Ferrand, créé en 1903 en centre-ville, est transféré de Clermont à Montferrand en 1992 dans la partie nord de l’ancien couvent des Ursulines (la partie sud étant transformée en logements).
A l’exception des antiquités gallo-romaines, toujours conservées au musée Bargoin (rue Ballainvilliers), les collections de peintures, sculptures et objets d’art du VIIème au XXème siècle prennent place désormais dans l’ancien couvent, réhabilité par les architectes Adrien Fainsilber, Claude Gaillard et Peter Rice. En décembre 1999,il a pris le nom de musée d’art Roger-Quilliot, en hommage à celui qui fut maire de Clermont-Ferrand de 1973 à 1997.
La cour des aides :
A l’arrière du musée d’art Roger-Quilliot, rue du Temple (ainsi nommée en raison de la présence d’une commanderie de Templiers dans ce secteur), s’ouvre une porte monumentale en pierre de Volvic appelée porte de la cour des aides. Créée en 1557, en compensation du transfert du bailliage à Clermont l’année précédente par Catherine de Médicis, cette cour assure à la ville, durant près d’un siècle, un rayonnement sans précédent.
Cette haute juridiction civile et criminelle traitait les affaires fiscales. Ne dépendant que du Parlement de Paris, elle exerçait ses prérogatives sur un immense territoire, incluant Gannat (Allier), Limoges (Haute-Vienne), Tulle et Brive (Corrèze) et Guéret (Creuse). En 1630, à la suite du rattachement de Montferrand à Clermont, elle est déplacée à Clermont.
Autres photos de Montferrand :
Rue du Séminaire – Ancienne Halle aux toiles avec alignement d’échoppes
Rue de la Rodade – Maison en encorbellement
Rue de Marmillat – Hôtel La Porte
Rue de la Cerisière – Hôtel particulier avec galeries en bois
Rue de la Cerisière – Hôtel La Faye des Forges (XVème siècle)
Rue Jules-Guesde : Au long de la rue se concentrent de belles propriétés de familles de notables montferrandais, véritables dynasties d’officiers du bailliage ou de la cour des aides, de commerçants ou de banquiers anoblis.
Rue Jules-Guesde – Hôtel de Fontfreyde
Rue Jules-Guesde – Hôtels Gashier (XVème) et Lignat (XVIème)
Rue Jules-Guesde – Hôtel particulier
Rue Jules-Guesde – Hôtels Fontenilhes et d’Albiat (XVème et XVIème siècle)
Place Poly – Hôtel Régin (XVème siècle)
Rue Kleber – Maison de l’Eléphant
Rue Montorcier – L’Hôtel de la Chantrerie (partie romane du XIIème siècle à gauche et partie Gothique du XIIIème / XVème siècle à droite)
Rue du Temple / Place de la Comtesse G
Très beau site sur Montferrand !
Généalogie : mon beau-père, Léon MARTIN, est né à Montferrand – Moulin de Cacholagne – le 22 mai 1896, sa soeur Magdelaine y est également née le 25/8/1899 et sa mère Marie BUSSAC y est décédée le 20/4/1901.
Je souhaiterais consulter les recensements de population, en vain jusqu’à présent !
Pourriez-vous ‘y aider (où trouver Montferrand ?? au Nord ou au Nord/Est ce Clermont ??) – je suis perdue !
Merci de votre aide
Nicole MARTIN
Bonjour,
Le quartier de Montferrand se situe au Nord-Est de Clermont-Ferrand entre le carrefour des pistes et la rue du Pré de la Reine (du Nord au Sud) et de la place du 1er Mai au Boulevard Vincent Auriol (D’Ouest en Est).
Bien cordialement
Bonjour Julien
Je vous remercie de ces précisions ! Je suis très étonnée de ne jamais entendre parler de ce Moulin de Cacholagne….le début du 20°… ce n’est pas si ancien pourtant !!
À bientôt d’autres nouvelles j’espère.
Nicole Martin
Très belles photos de ce quartier complètement à part et qui reste ‘authentique’
Bonjour, née à Montferrand en 1936 jaimerai y retourner que de souvenirs!!!et toutes les personnes connues !!
Votre site est absolument magnifique !
Merci.
Bonjour, Merci à vous 🙂
Bonjour, toute ma belle famille (Tournayre) est originaire de Montferrand (Fontcimagne). Mon beau-père Roger Tournayre ancien résistant (« colonel ») à même été quelque temps opérateur au cinéma des Robin place de la Rodade. J’aimerais bien trouver des photos des années 60 du cinéma « Étoile Palace »
Bonjour… Je suis sur Paris depuis 1985 mais je suis un clermontois à l’origine. J’ai bien connu l’Étoile-Palace (où j’allais les week-ends) ainsi que le Studio et le Rio. Lorsque vous écrivez le cinéma des Robin, c’était le nom des gens auxquels appartenait le cinéma ? Je me souviens qu’il a fermé en 1987. Savez-vous quelle fut la cause de cette fermeture ? Et qu’en est-il du bâtiment ? Est-il une habitation privée ou bien un immeuble associatif ? Bien cordialement.
BLOT Pascal